et ce vent qui nous volait nos rires
Je suis habillé d'une solitude
il n'est pas
de mon regard
juste marcher tes yeux
se faufilent dans la voix
il manque le généreux
le corps tombe trop soumis
cet espace pour l'oiseau
ou juste le chant
je ne sais plus
cet espace complexe
qu'est-il mieux que le désordre
désarmé par les jalousies
je cherche la lumière d'être
et ce vent qui nous volait nos rires
nous n'étions pas si perdu
peut-être hésitants les chemins
la certitude de rien
juste nos mains
agrippées aux secours
souviens toi des mots échangés
murmures
tempêtes
j'ai cacher nos émotions
aux fond de tes poches
de n'ose d'attendre
cherches et
ne m'oublie pas...
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