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Pays des toi
Tu me parle
Un soleil de glace
Mes mains rouges
mais sans toi
le reflet
ne plus retenir
Alors on va pouvoir
J'ai senti l'air cru
Mers ne savent
Nuit
Le chemin limpide
la solitude
boire les yeux
tellement
rires d'un clown
Je suis seul
Respirons
Un commencement
histoire sans sens
l'inguérissable
si peu d'eau
Pierres
tu n'es pas obligé
J'ai vu les vents...
et ce vent
ta rivière est si...
Mélange
Ce couloir
pré en bulles
l'étreinte
tu tends la main
Je marche
Permets moi d'être
dans ma main
histoires se mêlent
chants de rêves
l'envers est fragile
le silence va
j'ai vu l'éclat
rencontre
j'ai la joie
Je t'ai aimée
l'indifférence
l'impossible de toi
dire simplement
visage perdu
alors nous ...aimons
pierre gémissante
il suffit
l'espérance
l’effervescence
Comment faire si
Écoute....
étoiles dentelles
que mes mots
Allons enfants
les mots de paix
enfant que j'étais
vertige
La porte grince
temps qui passe
Qui sait déjà
Trouver le Mot
d'une image
juste d'être simple.
l'eau qui coule....
je te dis....
savoir l'arbre
es-tu ma liberté
l'arbre joue
Tout s'invente
chercher le nom
mots de pierres
Tu pars
Ballades du matin
Au commencement
écoute
je reste le naïf
l’impossibilité
dans les poches
letemps est disloqué
tout commence
Révélation
ma voix
il ne le sait
Je suis debout
Je suis debout
Essayer juste
infini du temps
L'absente
Je m'étonne le matin
ma nuit obstinée
L'Impossible
Je vais partir
L'eau comme semence
Je nage la terre
petite rosée
A
larmes de nos jardin
murmures des arbres
Tant à aimer…
laisse moi t'aimer
toujours cette voix
je joie
terre est la terre
cette amoureuse
Goutte de pluie
pierres volantes
rituel
Alors ?
Je suis enceint
seulement pour toi
chemin caché
me diras-tu
Ta maison
miroirs aux alouette
J'ai du sommeil
Mots de nuit
même pas peur
Qu'as-tu fais
Ce soir
Ma nuit
Pourquoi ne pas...
j'ai mal aux gens
La vie émouvante
peau de terre
La terre
Je marche
J'ai des gestes
que je sois là
colère
Matin soleil
Je me dis
l'enfant étonné
Tel ma nuit
effacer les mots
Je pédale ma vie
J'ai la joie de toi
Depuis toi...
j'ouvre les yeux
ce n'est pas moi
le fer et la terre
chemin de derrière
une pierre trouée
maison d'errance
J’ai tellement aimer
Je vagabond
A perte de voix
Vous mes mots
moi aussi je t'aime
L'ombre mystifie
Les jamais dits
Mon visage
JE NE SUIS PAS SAGE
ma mélancolie....
verse les bleus
Ton soleil
mon nom...
je ne peux dire
mains se cherchent
si peu d'espace
LA PLUME QUI HESITE
le cœur du monde
J'ai le désir
de passage
J'ose le geste
vertige de toi
La pierre héroïque
L'ange
L'épreuve du moment
Ballade
Je peux aussi courir
Je te dis mon ami
l’existence est là
Je serai lent
Qui es-tu toi?
aimes tu ?
flux et reflux
Je n'en sais rien
tout glisse ...
Ma maison
Je cherche
Pierre vivante
regards perdus
bleu incertain
Elle ne dit rien
une voix
Silence de terre
d'autres yeux
L'empreinte
ce rocher...
silence de l'arbre
j'ai mis ma main
Bien-sûr
fenêtre du dedans
Ce chemin commencé
ton rêve
mon rêve
Il y a des pluies
main sur ton chemin
Une nuit
Jardin rouge
je saurai
jamais assise
Il m'a dit
Ma peau d'arbre
l'ombre des arbres
illusion des paroles
Je suis qui pour toi
Je suis a genoux
je t'ai vu renoncer
le chemin est racine
sans toi
tu es plus salée
nous vivons morcelés
Je ne tombe pas
J'écris sans fin
L’intranquillité
nom inachevé
La canopée
Être dans l'urgence
pieds de pierre
La vie trouée
soif de la terre
le bleu
J'ai vu l’enfant
affoler la lumière
matins bleu clair
amant de la terre
tendre amour
La terre aux lèvres
Peut-être un jour
Ma quête
Regarde-moi
Ton corps
l'apesanteur
La métamorphose
la lenteur glisse
la dernière fois
le vent du monde
je vagabonde
Un ciel de gris
Tes yeux d'eau
Dans la forêt
violette
Ces jours de soleil
Je veux entrer
J'aime ta fenêtre
Imagine
les ronds des nuages
Il y a la pluie
L'absence
que te dire?
MA Poésie N'EST PAS
La terre aux lèvres
Nous marchons
j'ai l'idée
J'ai le désir
jeu
la pierre qui pleure
peut-être
le rire d'une violet
Sois paisible
Je suis sans yeux
Je te rêve
Quel chemin
Le ciel est lourd
l'enfant bleu
Quand je serai
Ton absence
moi et un autre
J'ai à dire
J'ai fermé la porte
tu aurai du
Je suis traversant
Mon sang palpite
je guette le passage
Les genoux
Le manège
J'aurai aimé te
mots cloués
un cri de ses yeux
J'ai vu une montagne
Je suis passé
Des amours
Même si
j'hésite
J'ai quelle musique
la porte ouverte
Je cherche
Mes doigts courent
les arbres rêves
l'impossible
ciel comme une mer
Des fois
Il y a le temps
l'arbre en alerte
Tes couleurs
Il y a eu
Le temps bouge
J'habite l' ivresse
Je me
je me veux là
J'ai le regard
chemin à suivre
J'ai des jours
J'aimerai être
entre les corps
L'arbre bleu
Il y a cette terre
quelque part
l'homme enfant
le lieu
Cette voix
L'eau
tout recommence
arbre à gosses
ton œil du nom
la farandole
Imagine un pont
à l'intérieur
J'ai creusé ta peau
A force d'errer
tes yeux parlent
toimoitoimoi
Il est des lieux
Me
éblouissement
sur ton ventre
ma mélancolie
Une terre
La dernière fois
Essayons
une immobilité
Muse de l'arbre fou
Cheval de bois
Je voulais te dire
Mes moi en morceaux
des fois mes mots
vie de cicatrices
il faut rêver
C'est beau
Rêves d'eau
bruits de cendre
Quand le regard
J'ai perdu le cri
ce merveilleux
sautera-tu?
à devenir fou
Tout les jours
Viens viens
entre mes mots
regarder un arbre
Bien-sûr cet oiseau
ce rien à l'infini
Sous tes rires
Ce visage
caresser la peau
Je pense à toi
Aujourd'huI
il faudra bien
ce temps jusqu'à toi
Je ne sais pas
Je ne sais pas
où es-tu ?
De l'herbe pousse
ce temps figé
Je parle doucement
J'ai enseveli
tu me manques
terre des mots
je vis encore
Une feuille
Des jolies mots
dans mon ventre
frémissement
tes baisers brillent
JE TE CRIE
Tes lèvres
J'aime le rouge
sonate en bleu
sauras-tu aimer
Des mots d'arbres
habitué de toi
Ce soir cette lune
voyages mirages
Ce visage
L'enfant dit
des mots d'amour
quelle bouche
chemins d'un bleu
Ton sourire
Je m'imagine vivant
j'ai crié une pierre
Se raconter encore
Un nom écrit
tes lèvres rouges
Je regarde
ce bleu brûlant
Il faut marcher
D'hier
Nos yeux si
noyés de la lune
tableau sur un mur
ramasser les chants
un nouveau silence
au fond du jardin
Yeux tombés
tu sais j'écris
vol d'oiseau
Un brin d'herbe
masque
Mes mains
Il y a eu ce jour
dans ta main
La nuit a son écume
Tu m'as dis
automne masqué
cette éblouissement
Une terre humide
ne plus savoir faire
temps de faire
une certaine lenteur
mains peureuses
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