Lorsque tu as vu le gris devenir le bleu
de l'autre côté
là où il n'y a plus de bavardages
il y a le repère du vent
et ses histoires
as-tu vu cela ?
Aussi le noir et ses terreurs
rode encore les nuits sans silences
Mais de quoi avoir peur?
des histoires qui ne font que passer
il n'y a pas de permanence
tout glisse dans le temps
même le murmure d'une voix
et la beauté d'un doigt posé sur mes lèvres
rappel- toi...dis-tu...du désastre des plumes
nos ailes brûlées aux feux des ventres
Il nous reste nos rêves de chiffons
les sangs de nos corps sont encore les histoires d'amour...

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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