Je suis l'homme enfant

enfants nourris aux mots jouets

dans la poussière des souvenirs

le temps vole mes deuils

ma maison sans façade

fenêtres sans fenêtres

pourquoi te penches-tu ?

Ils frappent à la porte

n'ai crainte la porte est sans porte

nous sommes dans l'idée d'un monde

il y a eu ce couché d'un soleil orangé sur un dégradé de gris-bleu juste découpé des ombres des arbres endormis

comme les oiseaux sans chants

je ne t'ai plus de mots

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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