Je pense à toi

dedans il y a cet isolement

ne plus savoir où aller

peut-être

et puis il y a le vacarme

ton œil ta bouche ton visage

ta peau s'acharne

nous avions la compassion des arbres

entre l'enfance et l'immense d'aujourd'hui

tu dis d'aimer n'est pas chercher la mort

comme les branches nos peurs se ramifient

nous somme inconsolables de la terre abîmée

va t-elle pouvoir se reposée des terreurs des hommes

est-ce que

l'infiniment petit conduit à l’abîme ?

Nos mains nous attendrissent

au creux de ton épaule

regarder le changement

regarde dehors il y a un décor de printemps

dans le théâtre de nos vies

nos corps mêlés exagérés au soleil

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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