Je brûle du temps

cendre d’ailes

dans ma bouche

Je me révoque d’homme

naufrage d’enfance

Mère mer d’origine

Je noie mes jouets

ne pas dire

peur de

ne pas dire

Toi tu sais danser sur les jours de silence

Tu t’habilles de croyances

Pourtant le corps si beau d’être nu

Notre quête est un chant

qui repose la douleur

Derniers commentaires

23.10 | 08:30

Magnifique !

26.06 | 08:26

Beau et fort

07.03 | 19:54

magnifique !

19.01 | 21:10

c'est doux de te lire. Comme si un nuage fondait dans ma bouche

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