Les iris une prière au jardin
L’oiseau chante au bord du temps
l’instant immense
toujours les amours infinis
La lumière peint un silence
derrière se cache l’empreinte des mots
Je parle sans réalités
la légéretée en suspend
Ta main était incroyable
ton départ sans fin abîme la lumière
Mon temps étourdi
sans rires
sans colères
Il me reste une tendresse
l’encre bleue sur le rouge
de nos veines...