Mes mains ont essayé…
essuyer essuyer
le gris de ta vie
tu hurles le ciel
et le feu des petits hommes
l’arbre en pleure
tempêtes des colères
à nos pieds le sage
aime la terre
joie de l’eau
pour que vive
la terre aime aime
tu sais la pluie aussi
grise la vie
les hommes calmes ont la mémoire
des peaux de joie
il est temps encore
secouer la mémoire d’enfance
l’amour traverse les silences
viens allons perdre les mots
de se taire
Il y a merveille juste à voir l’herbe débordante de ta chevelure
tes mains en paille et tes yeux fougère merveille
sois heureuse des fois...je t’aime.